Introduction du travail de groupe :
« Si la « smart city » sembler rester de l’ordre de l’utopie, d’autres modèles de villes existent.
Qu’elle soit “plateforme”, “servicielle”, “contributive”, ou encore “collaborative”, l’ensemble de ces notions restent – en théorie- parfaitement conciliables sur une seule et unique
localisation. En cela, ces concepts décrivent plutôt une structure singulière plutôt qu’une réalité entière.
Alors que certaines de ces notions reflètent uniquement un mode d’organisation, comme la ville plate-forme, ou bien servicielle, d’autres renvoient directement à une structure qui touche au domaine politique. A l’heure de la montée de la démocratie participative, et des approches attenantes, la ville du futur, si elle se doit d’être connecté, se devra surtout de supporter une
nouvelle structure d’acteurs. En effet, il y a de fortes nuances entre une ville “participative”, “contributive”, “collaborative”. Ces dénominations renvoient surtout vers différents schémas
de gouvernance : L’une avec un dialogue constant avec la population, la seconde s’attachant à lui faire produire les informations requises, et la dernière s’approchant de la cogestion entre
société civile et administration politique.
Au travers de cette synthèse, nous nous attacherons à analyser et à débattre sur la portée, le sens, mais aussi la réalité de modèles. Pour enfin apporter de la nuance et du recul face à une division perçue comme clivante entre différents modèles qui s’apparentent, souvent, à des idéaux-types. »
Une réflexion sur “Travail de groupe 2017/2018 – « Smart City », « Ville plate-forme », « ville servicielle », « Ville contributive », « Ville collaborative » : une ou des réalités ?”